LE TWIRLING BATON : KESAKO ?
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C’est un sport très peu connu en France.Il allie la gymnastique, la danse et le maniement du bâton.Le twirling bâton est très souvent confondu avec les majorettes. Ceci, à cause du bâton. Les twirlers évoluent en gymnase et ne pratiquent aucun défilé.Il peut se pratiquer en solo, duo ou équipes composées de 6, 8 ou 12 éléments et dès le plus jeune âge, au féminin comme au masculin.Ce sport est très complet et demande beaucoup d’assiduité et de dextérité.Homologué par Jeunesse et Sports depuis 1990, le twirling est admis pour la première fois au sein de la famille Olympique en 1994.
Le twirling est un sport très proche de la GRS, mais il autorise plus d’acrobaties et ne se pratique qu’avec un seul accessoire : le bâton. Celui de la grâce mais aussi de la discorde : à cause du bâton on confond bien souvent le twirling avec les majorettes.
Le twirling consiste à travailler avec un bâton métallique de 90 à 110 cm de long, dont les deux extrémités sont en caoutchouc. Le bâton doit être maintenu continuellement en mouvement et accompagné de mouvements de danse et de gymnastique sur une musique au choix. Mouvements de danse ou de jazz, articulation des doigts avec le bâton et hauts lancers contribuent à une harmonie de la démonstration.
Ce sport est pratiqué tant par les hommes que par les femmes.
Le twirling est pratiqué seul, à deux ou en équipe de 6 éléments ou plus, quel que soit le sexe.Ces solos, duos et équipes sont évalués lors de diverses compétitions ou championnats en tenant compte des mouvements imposés, du freestyle et des échanges pour les équipes (tranfert de bâtons de twirleurs vers d’autres twirleurs)La note du jury, composé de 3 juges au moins, tient compte :
Des lancers : le bâton est lancé dans les airs et est rattrapé de diverses manières. Durant le lancer, le twirleur effectue des tours sur lui-même ou divers mouvements de gymnastique comme les roues, illusions, souplesses ou costals.
Des roulers : le bâton ne quitte en principe pas le corps. Il glisse sur les bras, autour de la nuque, et souvent en combinaison etc...
Du contact avec le bâton : entre les lancers et les roulers, le bâton continue à bouger et à faire des mouvements comme par exemple des flips ( petits lancers à hauteur maximum de la tête).Plus la technique de maniement de bâton et l’artistique sont variés et compliqués et les exercices athlétiques, plus la note du jury sera élevée. Mais les juges tiennent également compte de l’interprétation de la musique, l’effet et le choix des costumes.
Des lancers : le bâton est lancé dans les airs et est rattrapé de diverses manières. Durant le lancer, le twirleur effectue des tours sur lui-même ou divers mouvements de gymnastique comme les roues, illusions, souplesses ou costals.
Des roulers : le bâton ne quitte en principe pas le corps. Il glisse sur les bras, autour de la nuque, et souvent en combinaison etc...
Du contact avec le bâton : entre les lancers et les roulers, le bâton continue à bouger et à faire des mouvements comme par exemple des flips ( petits lancers à hauteur maximum de la tête).Plus la technique de maniement de bâton et l’artistique sont variés et compliqués et les exercices athlétiques, plus la note du jury sera élevée. Mais les juges tiennent également compte de l’interprétation de la musique, l’effet et le choix des costumes.